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  • Photo du rédacteurDidier Febvre

Trigonométrie du désir


Circonférence

Il y avait dans les catacombes ce qui se signe d’être immonde. Le signe avancé de nos attitudes, qu’en est-il de nos habitudes ? Danse encore l’homme au Khalifat de nos supplices. L’ordre qui court sans dire à l’approche des histoires de clown. Au cirque aux sublimes danseurs de l’espace s’envole à l’au-delà du va et vient de tes reins, tes reins requins, de nos nuits folles, jamais trahi, toujours trouvé.

Sers-toi de moi petit poussin, regarde-toi infâme canard de nos histoires. La mère est là, telle la poule, la poulette, le poulet, l’aile ou la cuisse. D’un jardin serein d’avoir acquis le trophée reconnu, l’histoire à visiter, l’histoire à perdre, jamais n’aura connu l’aube croissant de nos jouets. Saveur unique de courant de fleurs abouties, j’en racine ta tendresse dans ma détresse. Jamais je ne quitterai la pluie du regard, de ton regard à celui-ci, n’être qu’être et naître tel quel, le loisir d’un charmant jardin.

C’est dans ses flots idoines d’un caractère infâme, jouer encore plus d’être rien dans ton sillage. Le regard abouti, toujours poursuivi des crêtes inaccessibles aux flancs de montagnes que rien ne vient craindre au sentiment imagé de narration, plus alerte sur les couleurs de nos nuits. Balafres de blancheur, j’abouti où s’inscrit l’être de son sort. N’être plus que rien, d’un sursaut à jamais lancé, qui s’ouvre n’être ouvert d’être possible vers ton flot serein. Où l’acte laissé, posé dans ces flux inavoué de sépultures à naître.

Silence absolue d’un regard que rien ne vient faire à l’image d’un sol aérien et d’une terre native. Le coquillage tel l’oreille du rivage vers quelques lointains visages abouti au naufrage d’une escala graduelle, d’un poste avancé, d’un escalier idoine, i douane, l’idée de loin, serpent courant le fléau serein d’être à d’Autre.

Est-ce que m’entends à naître ? Est-ce que prétends à d’être ? Est-ce que tu veux une trêve ? Le recours infâme de regards semblables, je vois ta joie à ce que ne regarde que l’espace. Quelque chose vient me clore.

N’être qu’être.

Naître qu’être.

Entre en lettre

Retour du ciboire qu’ayant bu, à l’unisson du corridor, où plongent les marins qui circulent dans leur leurre. Les poissons à l’hameçon du verbe, qui s’assouvissent jamais, record de nos lettre du rouge lumière encore donné sur les lendemains de la fin du verbe. L’esprit qui ploie comme un cerisier japonisant.

Le silence est lequel. Choisis tes mots, au propre, au figuré, et jouis plus loin de n’avoir tourné l’éclair blanc d’une juxtaposition idoine, I douane ou la douane de l’idée.

La douane de l’idée, la contrebande.

Le s’ex.

La contre-bande.

Ce qui s’agrandit du fantasme du désir et de l’illogique absence de nos corps à cœur ouvert, de nos peurs silencieuses.

Le territoire du lire où s’entrecroisent les raison d’un raisin de vin, idée de la douane. Douane de l’idée. A dire, à ne pas dire, à clairsemer le blé de faucilles, de l’autojection et de la culpabilisation. Pourquoi vouloir dans les marges d’un impossible du sommeil ? Le rêve du passeur, d’Eve reconduite. Le mâle fait mal, j’écris avec un sexe, je fertilise la cible, l’apport, le porc épic, la condamnation de la censure au service du bien dire, des formes, des fourches caudines de la tradition. La nouveauté s’y résolve.

Où en suis-je de ma jouissance. Dans le dire de trois à trou, et l’infini d’un silence d’un trois trouvé.

La douane des idées. D’abord mon stylo qui d’un plein et d’un délier signe l’esthétique de la souillure. Pornographie mentale. C’est-à-dire ? C’est-à-dire, c’est à dire. Déposé d’un sperme noir sur la virginité adoubée d’un silence de symboles. Ecriture d’abord, relecture ensuite, à nul autre paradoxe que ce que l’on se fait. Faire mal, le mal fait mal.

Sphère

Dans le silence grandiose de nos rêves assouvis qui coulent dans le delta di Nil, à nul autre pyramide sur le printemps, tant de temps au couloir qui serpent le long des fleurs couleur de fleuve. Caillasse sereine d’aboutir au clair de lune, au rendez-vous de nos silences, au carrefour de nos langues lentes, assouvies et ravies. Sourire de blancs cristaux de neige.

La rive du Roi des pleurs qui serpente à nul autre pareil. Où est tu petit oiseau, sur la branche d’un sequoia ? Que veux-tu de moi, serpent, lion, lionne, lynx, d’une mouche à qui sourit la vie.

Le river river river ou so long aspic d’une langue sans mots, d’une bouche sereine.

Regards étroits d’une rive qui s’empale toujours quand tu ris. Tu finis par être un sourire, encore, pour tous les jours et la nuit sereine, soleil sanglant sous une pluie de plus. Surement abasourdit d’un rêve about it, saga de la lance, saguer. Tam du Tam en Tam pour Tam, teinté blanc, gris, noir, arc en ciel.

Tangente

Cueillir les cerises du temps donné, plus au moins serein, à nul autre pareil, d’une pierre accolée aux sphères de paravent, des lampadaires d’ampoules éteintes. Sur tout cela et plus encore. Le silence dort. Courrier au vent volant, au cerf-volant accroché ; des nuages et pluies solitaires qui semblent sans le dire accueillent au hasard plume d’histoire au long de là. L’histoire qui s’accommode de peu, d’un peu de pluie.

Trouver, tourner encore et encore, ton corps meurtri d’une syllabe dorée et argentée, d’une soie et d’une soif. Pour cela que de dire, dire c’est acquis. D’acquérir un semblable de temps, d’amour nu. Clair d’amour « Où es-tu ? ». Douane du sens. A ne pas dire, à crier mon amour, transfert, transe à faire. Joli cordon d’un as de vie d’amour. Un nuage de tendresse.

D’une histoire sans fin, au-delà des contours, qui serpente à l’orée de ton oreille, tiré à blanc sur un sursaut d’intelligence à la place des sors convulsifs et prégnants aux horizons de nos paroles. Serments donnés et détournés d’une blessure d’arc-en-ciel ou la dérive des mots jetée au visage d’un roi.

Ce n’est pas vraiment un désir, ça ne se dit pas. Comment assumer l’intime provocation. La médecine. Mais si à force de ne pas se dire, ça se fantasme. Se croire aimé, se croire désiré, trop aimé pour être amant, un ami. Se croire un égal, une posture délicate.

Sinus

Sur la posture de nos histoires qui vient telle la vague refoulée par la digue, l’étoile de l’église sereine à nulle autre pareille, semblable danse au coucher de lune. Astra admirable et feuille d’automne qui cours le long de digues à un certain regard. Jouir, jouir encore vers le long crossant de tes sourires. J’attends de l’autre côté d’un semblant de ton corps d’écaille.

Le phare, tel l’œil du cyclope effacé. L’eau qui tombe la nuit, le miel d’une certaine anthropophagie. Reculer d’un trésor de sens qui court autour d’un viatique sur la dune du vent.

Je prétends n’être qu’à soi selon tout ce qui me vient. L’astre sanglant d’un éclair d’éclair, d’une chaude éclaboussure vers l’universel accord de nos désaccords.

Cosinus

Crachat purple de la toge, Sylvie des sabres, honneur des sages. Quelle avance, à jamais retouvée, par le jour pour le jour que l’on vient fêter. Pour le cours haletant des regards aux sourires, des rires de chiens qui aboient, le long des quai de la solitude. Le jour des chaines, à jamais prise aux poignets, de la courte echelle, de la maison de latoise et de l’ardoise.

Le cœur sanglant des atours observés vers l’œil hypnotisé de son cœur, monté à cru, grande cru que je croyais à l’unisson de ton visage. Cette amitié à égalite, être par vous semblable à moi-même ; Le regard des autres hommes vers le sanglant regard à jamais troué vers le soleil. La course à jamais gagner, j’accuse à l’éjaculation d’un serment d’honneur, vers les flancs et les reins, floraine, foire à fête.

Pie

Le sang craché des vignes à l’appel du grand désarroi où coule le serment des caves. Babile insoutenables des rivières en crue, jalon improbable d’une siluette de chasse où coulent les valons de sable pur, avec les galets ou la plage sereine. Fuite, ô fuite de vers luisant des symptomes qui virent et plongent le long des cascades de l’âme.ô topaze de tes yeux, rubi de tes levres, et ton regard à mon regard, ton sourire à mon sourire. Simple bête au mille regards, la bête aux mill yeux, sur la montagne de la loi où semblent courrir les cerceaux de joie, comme une rumeur à nulle autre pareil. Jeté des vignes, j’entends le cœur qui fond dans sa demeure, dans l’imaginaire à tes voix, empreintant les chemins qui mènent pas à Rome. Silence glacé d’une siluette mort dorée et hantée de sens. Sens, signe qui parcours toute la page. Plage, page de tes couleurs.

Diamètre

De ton sourire à mon sourire, de tes yeux à mes yeux, de ton rire à mon rire, foole abandonée de Yahvé sur la colline de l’espoir, la loi du désir et le désir de la loi. Feinte basence de tes lubis à tes treves, de tes fou-rires d’une note à la colline de la colère. Rêve insassiable de renoncement, prendre la vie comme telle.

De la terre à la mer, de la mer au sable d’inouï batracien des eaux plane sur le circuit des flots amers vers l’horizon des ours blancs. Banquise de poissions-scie, batelleur d’une balle manquée montée sur la devanture d’as remboursé du flot serein, un être dommage qu’un bout de peine. Jamais reconcer, concurrncer.

La souffrance d’exister comme un trou béant de la fluer absente. La circonference jamais acquise. Le rayon de ton œil où plane la joute retrouvée. Comme un indice, serien et plat, plat de certitude à nul autre pareil. Banquise échoué, etendu du haut de la tour.

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