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  • Photo du rédacteurDidier Febvre

Poésie de l’inconscient


La nuit s’attend à être sur le velours de nos nuits.

Satan, le grand seigneur, meurt d’amour pour toi.

Tu rumines le temps synchrone sur ton visage blafard.

Je joue aux dés de ta toge.

Le serein silence abonde dans le sens du sillage.

La fête est finie, qui court sur le chemin.

Les graviers de tes rêves m’enchantent,

L’horizon de tes yeux regarde le silence.

La vanité n’est plus.

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